Entre deux...
Hmmmm...Navré de casser quelque peu l'ambiance, je ne serai pas long.
Tout d'abord, oui, rassurez-vous, vous allez avoir des explications, en début de semaine prochaine, normalement, patience, donc. Et cessez de jouer avec ces bidons de goudrons et ces sacs de plume, vous allez finir par provoquer un accident.
Bien.
Si j'interromps ce moment d'émotion, c'est pour partager avec vous un (petit) bonheur, à savoir qu'au bout de six mois de retards, de problèmes de mise en page, de narration, de fond de café raclés à la cuillère après des nuits blanches et de quelques retraités malchanceux passant par là alors que j'avais fort besoin de détendre mes petits nerfs malmenés par toutes ces contrariétés...
Le Kakurenbô//Characters de Jun Murakami est enfin sorti.
Si.
Je vous mens pas.
Là, je vous parais peut-être un rien laconique mais croyez-moi, en mon for intérieur, je suis en train de me déhancher sur l'air de la Carioca.
Il est donc divisé en quatre chapitres - dont un en BD illustré par Eden Misty - comporte 180 pages et sera vendu au prix de 10€. Il est également déconseillé aux moins de dix-huit ans, je pense que ça ne surprend personne vu le pedigree de l'animal.
J'espère que pour les fans de ce cher Murakami (sérieusement, faut consulter, je dis ça pour vous...), ce spin-off répondra à vos attentes et de manière générale, pour tous les lecteurs de ka-ku-ren-bô, qu'il apportera un peu de lumière sur un personnage qui en manquait jusque-là.
Vous pouvez dès maintenant faire l'acquisition de ce chouette morceau de psychose chez lulu (rassurez-vous, j'ai laissé tomber l'idée du marque-page scolopendre empaillé. Ça laissait des traces sur le papier)
J'en aurais également sur le stand de Japan Expo Sud, le week-end du 6 Mars au Parc Chanot, à Marseille.
Comme d'habitude, petit plan pour me trouver, cette année c'est relativement simple, je suis pratiquement en face de l'entrée (et pas loin de la maison hantée. C'est le staff qui a voulu. ) en C112.
Et je le répète, ne venez pas avec le goudron et les plumes, de toute façon, derrière mon stand, vous aurez du mal à m'attraper pour me rouler dedans et je risque de vous priver de quelques-unes dans vos phalanges dans le processus. Sans compter que je parle pas la bouche pleine de goudron. J'ai un mimimum de tenue, tout de même.
Sur ce, je vous souhaite à tous et à toutes une bonne fin de semaine, à dans quinze jours pour les marseillais, sudistes et voyageurs égarés dans la cité phocéenne !